Les pratiques narratives partent du principe que notre identité se construit à travers les histoires que nous racontons sur nous-mêmes, et celles que la société ou notre entourage racontent à notre sujet.

Dans la souffrance ou la pathologie, une histoire dominante peut enfermer la personne dans une étiquette figée : “il est anxieux”, “elle est anorexique”, “cet enfant est hyperactif”. Ces récits limitants empêchent d’autres facettes de l’identité d’émerger.

Inspirées par les travaux de Michael White, les pratiques narratives visent à co-construire avec la personne des histoires alternatives, plus riches, plus proches de ses intentions, de ses valeurs et de ses rêves.

À quoi ça sert ?

À sortir des récits pathologisants ou réducteurs ;

À reprendre du pouvoir sur sa vie, en se reconnectant à ce qui fait sens ;

À rendre visibles les ressources, les compétences, les choix qui existent déjà mais passent inaperçus ;

À reconstruire une continuité de soi en valorisant les moments d’espoir, de courage, de résistance ;

À changer la manière dont on se raconte, pour changer aussi sa manière d’agir et de vivre ses relations.